Projection
Programmes Publics
24.9.2021
9.26.2021
15:00—19:00

Le Centre d’Art Vevey (VVAR.CH) en partenariat avec le 18 ont le plaisir de vous inviter à un week-end de projection des films du festival AL-BASIR 2021, festival du film antiraciste et interesectionnel

AL BASIR 2021—Festival de film antiraciste intersectionnel
Programmes Publics
Projection
24.9.2021
9.26.2021
15:00—19:00

Le Centre d’Art Vevey (VVAR.CH) en partenariat avec le 18 ont le plaisir de vous inviter à un week-end de projection des films du festival AL-BASIR 2021, festival du film antiraciste et interesectionnel. A cette occasion VVAR.CH présentera le numéro 0 de sa revue de théorie critique publiée aux éditions AL-KITABAT. 

VVAR.CH

Le Centre d'Art Vevey est un artist-run space numérique antiraciste politique et intersectionnel curaté parl’artistex iranien Mazyar Zarnadar. Ce projet multidisciplinaire a pour but de visibiliser des artiste.x faisant partie de différentes communautés minorisées et exclues (de race et de genre) par les sociétés occidentales du nord global. Le CAV propose depuis mars 2021 une programmation rythmée par le cycle des saisons se situant à l’intersection des arts-visuels, du cinéma, de la musique et de l’édition. 

Programmation

proposée par Balkis Guetta 

24.09.2021, 19:00

Hair Love (2020), Alicia Mendy

Français, 4’43’

Vivre en tant que femme noire dans un monde blanc.

Costa Caro (2019), Byron Gago

Italiano, sub English, 32’15’

Thinking in relation to the thematic anti-racist and intersectional, my work could be considered as documentation of a post-immigration time. The video portrays Hosni 31 years old from Tunis and Mustafa 22 years old from Egypt, both are narrators and witnesses of adifficult reality.(...)

À la recherche d’Aline (2021), Rokhaya Marieme Balde

Français, Wolof, 26’

Synopsis. Rokhaya, une jeune réalisatrice, retourne chez elle à Dakar pour tourner un film sur une figure historique locale. Au fil de ses recherches, qui consistent en des entretiens avec des personnalités locales, des discussions avec son équipe et des scènes de fiction tournées sur place, on découvre l'histoire d'Aline Sitoe Diatta.

Une critique de vison du réel. Héroïne de la résistance sénégalaise durant la colonie française, Aline Sitoé Diatta reste aujourd’hui encore une figure mythique. Une jeune cinéaste retourne chez elle à Dakar pour redonner corps à son histoire dans un film qui se réinvente sans cesse, à travers une approche joyeuse et aventureuse assumant librement la fiction et ses apparences.Emilie Bujès

25.09.2021, 19:00

Second movement: Birds watching (2020), Rania Atef

English, 5’25’

The work takes the decision to ban the “Mahraganat” music- a type of singing and music that mixes techno and folk music that appeared recently in Egypt - under the accusation of "spoiling the public taste” as a point of departure that reflects the relation of power and authority with art. The video tries to merge western classical music in conversation with the music and lyrics of Mahragant music. Introducing the notion of harmony through the merge of birds’ dance and el “mahraganat dance” where both are wild and natural in their essence of bodies movement. Attempting to break boundaries and rules being put on recent contemporary metamorphosis while introducing a state of reconciliation and homogenization.

It questions the role of entities such as syndicates and media channels in Arab region in the dispute to extend influence and impose control. Music emerging from marginalized and poor social classes - vernacular and deeply rooted from its context- that own its special performative dancing was able to go beyond and find their audience outside the censorship established by those parties.

The video includes found footage that presents two narratives; one represents the state of merging and the other is the narrative of official authorities.

IF IT'S INVISIBLE IT DOESN'T EXIST, I GUESS (2019), Alizé Rose-May

English, Arabic 19'15'

IF IT'S INVISIBLE IT DOESN'T EXIST, I GUESS est un essai-vidéo expérimental faisant suite à un séjour en résidence artistique au Caire en Egypte en 2019. Entouré de textes de Nora Amin et de Carolin Emcke, la narration textuelle aborde les questions du care, de la (non)-présence et du (non)-accès à la grève féministe de juin 2019, de collectivité, de la position coloniale des programmes de résidences artistiques, de processus d'invisibilisation, d'invisibilité.

Balkis Guetta, COSMOS (2020)

Français, 3’35

Un homme déambulant dans les rues de Marrakech se pose une seule question « Quelle est ma place?

ZWAJ (2014-2021), Ali-Eddine Abdelkhalek

Oran, Algérie, 14’45’

5 mariages, 3 générations et 1 film.

Ali-Eddine Abdelkhalek, documente un moment de vie traditionnel important au sein de sa famille à Oran, en Algérie. Filmé sur une période de 6 ans, le film passe en revue les différentes étapes, très codifiées, de la célébration du mariage ou se mêle tradition et modernité sur un fond toujours kitsch.

Les Lueurs du Conteur (2021), Jules Deschamps

Marrakech, 2’49’

Le crépuscule s’empare de la ville ocre. Les dernières lueurs du jour s’estompent et laissent place à la clarté de sa sœur. La nuit emporte les rêves et mystifie les rues de la cité impériale.

Sur la place Jamaa El Fna, bars et restaurants cèdent la place aux gargotes. Celles- ci inondent rapidement la quasi-totalité de la place, et laissent les petits espaces aux charmeurs de serpents, les neqacha, et les porteurs d’eau. Locaux et voyageurs envahissent les lieux.

Seth (2020), Achraf Barhoumi

3’13’

Dans cette vidéo j'ai voulu projeter la question de la trans-identité. La personne filmé aimerait faire une transition, tout en ayant connaissance de la complexité de la situation de la communauté QUEER au Maroc.

Qui ose remplacer le soleil ? (2021), Doriane Geneste

Français, 17’00’

C’est un film essai qui porte sur une recherche sur le sujet spécifique des essais atomiques français en le désert Saharien Algérien. Ce film est une réaction à l'invisibilisation de cet événement de l’histoire impérialiste et coloniale de la France. Il essaie de montrer comment les Français ont réagi lors des essais en en faisant un spectacle mi-cosmique mi- transcendantal. Comment l’État français a soutenu et glorifié cet épisode, rejouant la fin de la seconde guerre mondiale avec la France comme premier rôle après l'humiliation de 1940. Tout en contre-balançant avec des voix d’anciens militaires qui souffrent de maladies résultant de leur proximité avec le nucléaire. Et avec en surplomb à ces voix d’archives, la lecture d’un texte d’Albert Memmi parlant de la relation colonisé-colonisateur pour remettre en perspective le contexte socio-historique dans lequel les essais nucléaires français se sont déroulés. C'est un premier film sur ce sujet qui sera suivi d'un second en 2022.

26.09.2021, 19:00

My mixed brain, Mariam Saint Denis

(English) 23’07’

Mixed Brain est un documentaire intime de Mariam SaintDenis, sur ses identités croisées. Son cerveau mélangé se perd entre le Maroc et le Mexique, entre son côté colon et son côté colonisé, entre sa grand-mère et sa cousine. Mixed Brain by Mariam SaintDenis is an intimate take on her intermingled identities.

Personnes sans repères fixes, Mathilde Sauvère

(Lausanne, 2021) 4’46’

Il s’agit d’une courte vidéo d’une durée d’environ 5 minutes, au sujet de personnes stigmatisées dans la rue pour leur consommation ou leur statut de « toxicomane » (bien que je n’apprécie pas beaucoup ce terme).

Auto-Route, Mazyar Zarnadar

(Suisse, 2021) 60’00’ Anglais, Mandinka

"Auto-Route" est un essai documentaire traitant de la question du racisme systémique et de l'islamophobie au sein de la société Suisse. Le film prend la forme d'un entretien entre deux vieux ami-x-s se retrouvant après plusieurs années de séparation pour peindre dans un atelier de la Riviera vaudoise en Suisse.

L'artiste gambien Maw Fatty a été invité par le Centre d'Art Vevey (CAV) a participer à l'exposition numérique AL-LAH, contre l'islamophobie, verni le 07 mars 2021 sur VVAR.CH. A cette occasion, il a décidé de produire une peinture dont la fabrication est documentée par le réalisateur franco-iranien Mazyar dans ce film. Cet après-midi de dimanche passé ensemble, sera pour eux l'occasion d'évoquer les conditions de vie du peintre gambien Maw Fatty en Suisse, son rapport au racisme systémique mais aussi ses aspirations et projets futurs en tant qu'artiste.

Le titre du film est emprunté au titre donné par l'artiste Maw Fatty à sa peinture "Autoroute", exposée et vendu dans le cadre de l'exposition numérique AL-LAH, contre l'islamophobie qui eu lieu du 07 mars au 07 juin 2021 sur VVAR.CH, espace d'exposition numérique du Centre d'Art Vevey (CAV). 

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