Ceci n'est pas un édito. Ou presque.
C’est plutôt une note annonçant une publication qui n’a pas pu se faire, qui s’enchevêtre avec un journal, une pandémie et un événement majeur de la scène artistique.
Mardi 7 janvier à 14 heures, nous nous sommes rassemblés sur la terrasse du 18 Derb El Ferrane avec une partie des contributeurs de ce numéro de Chergui, que j’ai nommé To gather (j’avais noté “Together” et Yvon Langué a séparé les lettres.
Je trouve finalement “To Gather plus juste” – nous y aspirons – et parce que – everything is temporary.
Chergui #001, n’est pas une séries de collections/co-lectures des théories de la fictionnalité. Le lecteur n’y trouvera pas ce discours centripète typique des conversations spécialisées. Nous n’aurions pas pu/su. En dehors de quelques rares évocations, ce que nous appelions alors le fil rouge, existe cependant en filigrane, tel un filtre/une grille, sous la trame de chaque contribution.
DABAPHOTO représente depuis la première édition en 2014 un programme d’échanges et de réflexions sur la photographie au sens large, à partir du Derb El Ferrane, pendant un mois.